PROCHAINE EXPOSITION - VERNISSAGE
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Image du film Corps muets (2013), réalisé par Marie Lamiable, Vincent Mayos et Olivier Patron
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Récits d’un lieu
Exposition du 24 au 26 avril
- Projections à
11h - 12h30 - 15h - 17h
Vernissage : mardi 23 avril - Projections à 18h et 20h30
Un
projet des étudiants de l’atelier Master 1 « Pratique artistique du
cinéma », réalisé dans le cadre des Ateliers Cinéma (UFR LAC) de Paris
Diderot, sous la direction de Marie Preston, artiste
Cinq
films qui explorent, sous les formes les plus diverses, le musée et le
jardin Albert-Kahn – lieu palimpseste où se côtoient et se superposent
images, légendes, archives et Histoire.
Réalisations
de : Vadim Alsayed, Sarah Bastide-Carrière, Alexandra Conihl de
Beyssac, Aurélie Donval, Stéphanie Ghaemian, Maguelonne Harang, Marie
Lamiable, Johanne Licard, Justine Mathieu, Vincent Mayos, Olivier
Patron, Henri Solignac
Un
projet présenté par l’Université Paris Diderot – Paris 7 et
Bétonsalon - Centre d’art et de recherche avec le soutien de
Albert-Kahn, musée et jardin, propriété du Conseil général des
Hauts-de-Seine
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DERNIERS JOURS DE L'EXPOSITION
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Justine Frank, The Stained Portfolio, dessin et gouache sur papier, 33x38 cm, 1927-1928. Courtesy : Rosenfeld Gallery, Tel Aviv.
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« Fais un effort pour te souvenir. Ou, à défaut, invente. » *
Gloria
Anzaldúa / Pauline Boudry & Renate Lorenz / Giuseppe Campuzano /
Theresa Hak Kyung Cha / Carola Dertnig / Cheryl Dunye / Renée Green /
Marge Monko / Roee Rosen / Monique Wittig
Une proposition d’Aliocha Imhoff & Kantuta Quiros
(le peuple qui manque)
23 janvier – 13 avril
Vernissage : mardi 22 janvier 2013, 18h - 21h En 1970, la poétesse Robin Morgan proposait, dans l’anthologie de textes féministes Sisterhood is powerful, le néologisme de herstory pour qualifier un programme historiographique de reconstruction et pourrait-on même dire, littéralement, d’invention d’une « Histoire des femmes ». Au-delà d’une simple célébration de telles ou telles figures de femmes oubliées de l’Histoire, l’herstory proposait, plus ambitieusement, les prémisses d’une réécriture féministe et queer de l’Histoire, à rebours d’une Histoire positiviste qui, non seulement, s’avérait incapable de révéler la présence des minorités, en tant que sujets politiques, dans la texture de l’Histoire mais produisait davantage encore les conditions mêmes de leur subalternité (Guha 1988 ; Preciado 2005). C’est par l’invention ou le déploiement de nouvelles technologies d’écriture (telles que la fictionnalisation des archives, la mythologie, l’auto-histoire-théorie, l’histoire orale, le reenactment ou la dislocation temporelle) que les historiographies féministes et queer mettent en crise les procédures narratives du récit historique linéaire. En savoir plus...
* Monique Wittig, Les Guérillères, 1969
Le peuple qui manque est
une plate-forme curatoriale créée en 2005 par Aliocha Imhoff et Kantuta
Quiros, oeuvrant à l’intersection entre théories critiques et art
contemporain.
En savoir plus : lepeuplequimanque.org |
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